Nikos Aliagas soutient le plan de l'UE à Athènes - Zapping du 6 juillet
- il y a 9 ans
Le discours pro-oui de Nikos Aliagas à Athènes divise les Grecs.
Vendredi soir, l'animateur de télévision s'est transformé en orateur devant 22.000 personnes venues manifester pour soutenir le plan de l'Union européenne. Au même moment, 25.000 Grecs se rassemblaient pour le «non» autour du Premier ministre Alexis Tsipras. Une prise de position et une prise de parole vivement critiquée et qui a divisé le peuple grec.
En Grèce, les partisans du "non" l'emportent à plus de 61 %. Conséquence, Yanis Varoufakis, le ministre des Finances, a annoncé lundi matin sa démission sur son blog. Chez les écologistes, au Parti de gauche et parmi les communistes, on applaudit. Les ministres français, eux, sont plus réservés.
La fête de la violette qui se tenait dans le Loir-et-Cher ce week-end, s'est transformé en meeting de Nicolas Sarkozy.
L'ancien chef de l'État est aussi la cible de Sepp Blatter. Dans un entretien accordé à Die Welt, le dirigeant suisse assure que Nicolas Sarkozy et d'autres dirigeants européens ont tenté d'influencer leurs représentants pour les votes des Mondiaux de football 2018 et 2022.
Vendredi soir, l'animateur de télévision s'est transformé en orateur devant 22.000 personnes venues manifester pour soutenir le plan de l'Union européenne. Au même moment, 25.000 Grecs se rassemblaient pour le «non» autour du Premier ministre Alexis Tsipras. Une prise de position et une prise de parole vivement critiquée et qui a divisé le peuple grec.
En Grèce, les partisans du "non" l'emportent à plus de 61 %. Conséquence, Yanis Varoufakis, le ministre des Finances, a annoncé lundi matin sa démission sur son blog. Chez les écologistes, au Parti de gauche et parmi les communistes, on applaudit. Les ministres français, eux, sont plus réservés.
La fête de la violette qui se tenait dans le Loir-et-Cher ce week-end, s'est transformé en meeting de Nicolas Sarkozy.
L'ancien chef de l'État est aussi la cible de Sepp Blatter. Dans un entretien accordé à Die Welt, le dirigeant suisse assure que Nicolas Sarkozy et d'autres dirigeants européens ont tenté d'influencer leurs représentants pour les votes des Mondiaux de football 2018 et 2022.