Talamoni: refuser l’amnistie des prisonniers serait “un déni de démocratie”

  • il y a 8 ans
Manuel Valls effectuait lundi son premier déplacement en Corse en tant que Premier ministre. S’il a annoncé plusieurs mesures en faveur de l’île de Beauté, le locataire de Matignon est resté ferme face aux demandes des nationalistes, notamment sur l’amnistie des militants indépendantistes emprisonnés sur le continent. Un “déni de démocratie”, pour Jean-Guy Talamoni, président de l’assemblée de Corse, qui rappelle que cette amnistie est une “volonté populaire affirmée à travers les différentes institutions de l’île”.

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