Un retraité a résolu un vieux problème de maths en se brossant les dents
- il y a 7 ans
Un retraité allemand, est parvenu à résoudre un problème mathématiques qui résistait aux plus grands esprits de la discipline depuis plus de 50 ans.
Mieux, la solution lui serait venue spontanément alors qu’il se lavait les dents.
La conjoncture de corrélation gaussienne est un théorème qui taraude la communauté des mathématiciens depuis les années 1950.
Un matin de juillet 2014, Thomas Royen, 67 ans au compteur, se lave tranquillement les dents lorsqu’il est frappé par une idée soudaine.
M. Royen n’est certes pas un mathématicien de profession, mais il n’est pas non plus le premier venu dans cette discipline.
Il a en effet effectué toute sa carrière dans les statistiques pour l’industrie pharmaceutique.
C’est en substance l’idée qu’il a ce matin là et qui va lui permettre de résoudre la conjoncture.
Il écrit alors son papier, sobrement intitulé « a simple proof of the Gaussian inequality conjecture » (une simple preuve de la conjecture de corrélation gaussienne).
Aujourd’hui, il espère simplement que « cette preuve étonnement simple encouragera les jeunes étudiants à chercher de nouveaux théorèmes mathématiques.
Mieux, la solution lui serait venue spontanément alors qu’il se lavait les dents.
La conjoncture de corrélation gaussienne est un théorème qui taraude la communauté des mathématiciens depuis les années 1950.
Un matin de juillet 2014, Thomas Royen, 67 ans au compteur, se lave tranquillement les dents lorsqu’il est frappé par une idée soudaine.
M. Royen n’est certes pas un mathématicien de profession, mais il n’est pas non plus le premier venu dans cette discipline.
Il a en effet effectué toute sa carrière dans les statistiques pour l’industrie pharmaceutique.
C’est en substance l’idée qu’il a ce matin là et qui va lui permettre de résoudre la conjoncture.
Il écrit alors son papier, sobrement intitulé « a simple proof of the Gaussian inequality conjecture » (une simple preuve de la conjecture de corrélation gaussienne).
Aujourd’hui, il espère simplement que « cette preuve étonnement simple encouragera les jeunes étudiants à chercher de nouveaux théorèmes mathématiques.