Paris sportifs : Zebet prend la vague de l’e-sport
- il y a 6 ans
Le directeur général des sites de paris sportifs en ligne Zebet-Zeturf, Emmanuel de Rohan-Chabot, a répondu aux questions de l'émission « L'Invité des Echos. » Interview réalisée par Olivier Harmant.
Après les paris sportifs, Zebet-Zeturf a décidé de se lancer dans les paris d'e-sport. « Le nouveau relais de croissance est sans doute-là, parce que c'est le nouveau relais de croissance, globalement, de la médiatisation du sport », explique Emmanuel de Rohan-Chabot. « Un événement a été très frappant il y a un an sur toutes les plates-formes comme Twitch, YouTube… qui a été suivi par 80 millions de personnes en direct : la finale d’un grand match de League of Legends. C’est plus que ceux qui regardent en direct le superbowl aux Etats-Unis ou les grandes ligues de football européennes. »
Pour l’instant, Zebet-Zeturf a décidé de se lancer dans cette activité outre-Rhin, pour des raisons réglementaires. « En France, c’est interdit. Nous nous lançons donc en Allemagne, dans les pays nordiques puis, petit à petit, dans les pays où nous pourrons obtenir des licences pour avoir le droit de faire du pari sur l’e-sport. La France a déjà fait une première étape : elle a reconnu les e-sports comme un sport », indique Emmanuel de Rohan-Chabot, qui se montre confiant quant à une possible évolution de la loi dans l’Hexagone.
Lors de l’émission, le directeur général revient également sur les chiffres d’activité de Zebet-Zeturf. « Il y a aujourd’hui entre 250.000 et 280.000 parieurs inscrits à la fois sur Zeturf et Zebet. Le pari hippique, dans un marché difficile, est en croissance chez Zeturf car nous allons terminer l’année avec une croissance de l’ordre de 15% de nos enjeux. Le pari sportif, qui est lui dans un marché en forte croissance, est en progression de 50% cette année. »
Après les paris sportifs, Zebet-Zeturf a décidé de se lancer dans les paris d'e-sport. « Le nouveau relais de croissance est sans doute-là, parce que c'est le nouveau relais de croissance, globalement, de la médiatisation du sport », explique Emmanuel de Rohan-Chabot. « Un événement a été très frappant il y a un an sur toutes les plates-formes comme Twitch, YouTube… qui a été suivi par 80 millions de personnes en direct : la finale d’un grand match de League of Legends. C’est plus que ceux qui regardent en direct le superbowl aux Etats-Unis ou les grandes ligues de football européennes. »
Pour l’instant, Zebet-Zeturf a décidé de se lancer dans cette activité outre-Rhin, pour des raisons réglementaires. « En France, c’est interdit. Nous nous lançons donc en Allemagne, dans les pays nordiques puis, petit à petit, dans les pays où nous pourrons obtenir des licences pour avoir le droit de faire du pari sur l’e-sport. La France a déjà fait une première étape : elle a reconnu les e-sports comme un sport », indique Emmanuel de Rohan-Chabot, qui se montre confiant quant à une possible évolution de la loi dans l’Hexagone.
Lors de l’émission, le directeur général revient également sur les chiffres d’activité de Zebet-Zeturf. « Il y a aujourd’hui entre 250.000 et 280.000 parieurs inscrits à la fois sur Zeturf et Zebet. Le pari hippique, dans un marché difficile, est en croissance chez Zeturf car nous allons terminer l’année avec une croissance de l’ordre de 15% de nos enjeux. Le pari sportif, qui est lui dans un marché en forte croissance, est en progression de 50% cette année. »