80 Go de données sur le nucléaire français ont été piratées… Et personne ne sait par qui
- il y a 6 ans
Une enquête menée par le Monde a révélé en juin dernier que deux sites nucléaires français avaient été la cible d’un piratage d’envergure.
Malgré la mobilisation d’importants moyens, ses auteurs n’ont toujours pas été identifiés.
Les 80Go de données confidentielles concernent le site d’enfouissement des déchets nucléaires Cigéo de Bure et la centrale de Fessenheim.
Les données ont été dérobées sur les serveurs de la société Ingérop, un groupe d’ingénierie technique impliqué dans le projet polémique Cigéo.
Le projet Cigéo vise à enfouir à environ 500 mètres de profondeur les déchets radioactifs les plus dangereux du parc nucléaire français.
Les données piratées concernaient non seulement les deux sites nucléaires de l’est de la France, mais également plusieurs centres pénitentiaires français.
Les auteurs de ce piratage d’envergure n’ont pour l’heure toujours pas été identifiés.
Malgré la mobilisation d’importants moyens, ses auteurs n’ont toujours pas été identifiés.
Les 80Go de données confidentielles concernent le site d’enfouissement des déchets nucléaires Cigéo de Bure et la centrale de Fessenheim.
Les données ont été dérobées sur les serveurs de la société Ingérop, un groupe d’ingénierie technique impliqué dans le projet polémique Cigéo.
Le projet Cigéo vise à enfouir à environ 500 mètres de profondeur les déchets radioactifs les plus dangereux du parc nucléaire français.
Les données piratées concernaient non seulement les deux sites nucléaires de l’est de la France, mais également plusieurs centres pénitentiaires français.
Les auteurs de ce piratage d’envergure n’ont pour l’heure toujours pas été identifiés.