Nicolas Moulin, Goldbarrgorod, 2008
- il y a 6 ans
Nicolas Moulin, Goldbarrgorod, 2008
Métal et Dibond
Achat à la galerie Valentin (Paris)
FNAC 2011-0487
Collection Centre national des arts plastiques
Des carcasses d’ordinateurs et de serveurs désossées, empilées et assemblées, composent le paysage monumental de Goldbarrgorod (2008). En révélant ainsi « les formes de l’ingénierie », Nicolas Moulin met en œuvre l’éthique du courant brutaliste, théorisé notamment par Peter et Alison Smithson. Ce travail sur l’imaginaire et la doctrine architecturale est contaminé par la question de l’obsolescence technique : le matériel informatique hors d’usage est ici « recyclé ». Mais, comme le dit l’artiste, « au-delà d’un discours sur l’obsolescence de l’informatique, le réel sujet de cette pièce pourrait être la part « durable » de l’architecture, c’est-à-dire ce qui reste, une fois que tout a été érodé ou détruit par le temps ou les aléas »
Nicolas Moulin (fr, 1970) vit et travaille à Berlin. Sa pratique se déploie à travers la vidéo, la photographie et l’installation. Avec la fondation du label GRAUTAG Records, il investit également le domaine de la création sonore et de la musique.
Œuvre présentée dans le cadre de La nouvelle adresse, une manifestation organisée
par le Centre national des arts plastiques les 14, 15 et 16 septembre 2018 au 81, rue Cartier-Bresson, à Pantin.
Programmation composée par Juliette Pollet,
avec Pascal Beausse, Philippe Bettinelli, Pascale Cassagnau, Sandra Cattini, responsables de collections au Cnap
Assistés de Cassandre Langlois
Remerciements
Nicola Moulin, artiste
Marc Sanchez, Directeur du pôle développement culturel, partenariats et éditions au Cnap
La petite boite d’accroche et les équipes de production et de montage du Cnap et tout particulièrement Raphaëlle Romain, Ruth Peer, Eric Potel
Coordination
Annabelle Oliveira, Service de la communication, de l'information et des ressources professionnelles au Centre national des arts plastiques
Assistée de Inès Alliouane et de Jeanne-Marie Manaranche
Réalisation vidéo : EloA
Métal et Dibond
Achat à la galerie Valentin (Paris)
FNAC 2011-0487
Collection Centre national des arts plastiques
Des carcasses d’ordinateurs et de serveurs désossées, empilées et assemblées, composent le paysage monumental de Goldbarrgorod (2008). En révélant ainsi « les formes de l’ingénierie », Nicolas Moulin met en œuvre l’éthique du courant brutaliste, théorisé notamment par Peter et Alison Smithson. Ce travail sur l’imaginaire et la doctrine architecturale est contaminé par la question de l’obsolescence technique : le matériel informatique hors d’usage est ici « recyclé ». Mais, comme le dit l’artiste, « au-delà d’un discours sur l’obsolescence de l’informatique, le réel sujet de cette pièce pourrait être la part « durable » de l’architecture, c’est-à-dire ce qui reste, une fois que tout a été érodé ou détruit par le temps ou les aléas »
Nicolas Moulin (fr, 1970) vit et travaille à Berlin. Sa pratique se déploie à travers la vidéo, la photographie et l’installation. Avec la fondation du label GRAUTAG Records, il investit également le domaine de la création sonore et de la musique.
Œuvre présentée dans le cadre de La nouvelle adresse, une manifestation organisée
par le Centre national des arts plastiques les 14, 15 et 16 septembre 2018 au 81, rue Cartier-Bresson, à Pantin.
Programmation composée par Juliette Pollet,
avec Pascal Beausse, Philippe Bettinelli, Pascale Cassagnau, Sandra Cattini, responsables de collections au Cnap
Assistés de Cassandre Langlois
Remerciements
Nicola Moulin, artiste
Marc Sanchez, Directeur du pôle développement culturel, partenariats et éditions au Cnap
La petite boite d’accroche et les équipes de production et de montage du Cnap et tout particulièrement Raphaëlle Romain, Ruth Peer, Eric Potel
Coordination
Annabelle Oliveira, Service de la communication, de l'information et des ressources professionnelles au Centre national des arts plastiques
Assistée de Inès Alliouane et de Jeanne-Marie Manaranche
Réalisation vidéo : EloA