Patrimoine. Un loto le 14 juillet et davantage de jeux à gratter en 2019
- il y a 5 ans
La Française des jeux (FDJ) va étoffer cette année son offre de jeux destinés à financer la restauration de monuments français, pour « l’an 2 » de la Mission Patrimoine.
La première édition du « loto patrimoine », sous le patronage de Stéphane Bern, a connu un succès indéniable : la Française des jeux (FDJ) a pu verser 22 millions d’euros à la Fondation du Patrimoine. Pour 2019, 118 monuments en péril, dont 18 monuments « emblématiques », doivent être désignés prochainement.
« Une attention particulière sera portée aux projets de centre-bourgs et de centres-villes », avait annoncé en janvier la Fondation du Patrimoine. Plus de 3 000 sites étaient recensés sur le site internet de la mission Bern, à avant la fermeture des candidatures le 28 février, selon de la Fondation. Il ne reste donc que quelques heures pour candidater et bénéficier de l’aide des Jeux Mission Patrimoine
« L’objectif est de faire mieux, ou au moins aussi bien, que ces 22 millions d’euros », affirme Stéphane Pallez, la PDG de la FDJ. Pour cela, « nous avons choisi d’avoir deux temps forts, avec des jeux différents pour des clients différents », résume-t-elle.
La première édition du « loto patrimoine », sous le patronage de Stéphane Bern, a connu un succès indéniable : la Française des jeux (FDJ) a pu verser 22 millions d’euros à la Fondation du Patrimoine. Pour 2019, 118 monuments en péril, dont 18 monuments « emblématiques », doivent être désignés prochainement.
« Une attention particulière sera portée aux projets de centre-bourgs et de centres-villes », avait annoncé en janvier la Fondation du Patrimoine. Plus de 3 000 sites étaient recensés sur le site internet de la mission Bern, à avant la fermeture des candidatures le 28 février, selon de la Fondation. Il ne reste donc que quelques heures pour candidater et bénéficier de l’aide des Jeux Mission Patrimoine
« L’objectif est de faire mieux, ou au moins aussi bien, que ces 22 millions d’euros », affirme Stéphane Pallez, la PDG de la FDJ. Pour cela, « nous avons choisi d’avoir deux temps forts, avec des jeux différents pour des clients différents », résume-t-elle.