Saint-Brieuc. L’homme qui a semé la panique dans le TGV transféré à l’hôpital psychiatrique.
- il y a 5 ans
Saint-Brieuc. L’homme qui a semé la panique dans le TGV transféré à l’hôpital psychiatrique.
En garde à vue depuis son interpellation lundi à Saint-Brieuc, l’homme qui a semé à panique dans le TGV a été conduit ce matin dans un hôpital psychiatrique.
En garde à vue depuis son interpellation lundi après-midi, l’homme encagoulé qui a semé la panique dans le TGV Paris-Brest a été conduit ce matin dans un hôpital psychiatrique des Côtes-d’Armor. « Son état n’était pas compatible avec une garde à vue » a indiqué le parquet de Saint-Brieuc.
Plusieurs témoins avaient décrit un homme « agité » , « pas très net » . L’homme de 35 ans a été interpellé par des fonctionnaires de la Police aux frontières et un gendarme en civil dans le train, avant d’être livré au policier à l’arrivée du train à Saint-Brieuc. « Il portait une cagoule et des coques de protection. Il empêchait des gens de passer, racontait n’importe quoi , indiquait la commissaire Laurence Lairet lundi soir. Les gens ont pris peur. Certains disent avoir vu une arme. Mais ce n’est pas établi. »
Les démineurs de Brest, qui ont inspecté le TGV et ses affaires personnelles lundi soir, n’ont trouvé de suspect, précise le magistrat de permanence.
En garde à vue depuis son interpellation lundi à Saint-Brieuc, l’homme qui a semé à panique dans le TGV a été conduit ce matin dans un hôpital psychiatrique.
En garde à vue depuis son interpellation lundi après-midi, l’homme encagoulé qui a semé la panique dans le TGV Paris-Brest a été conduit ce matin dans un hôpital psychiatrique des Côtes-d’Armor. « Son état n’était pas compatible avec une garde à vue » a indiqué le parquet de Saint-Brieuc.
Plusieurs témoins avaient décrit un homme « agité » , « pas très net » . L’homme de 35 ans a été interpellé par des fonctionnaires de la Police aux frontières et un gendarme en civil dans le train, avant d’être livré au policier à l’arrivée du train à Saint-Brieuc. « Il portait une cagoule et des coques de protection. Il empêchait des gens de passer, racontait n’importe quoi , indiquait la commissaire Laurence Lairet lundi soir. Les gens ont pris peur. Certains disent avoir vu une arme. Mais ce n’est pas établi. »
Les démineurs de Brest, qui ont inspecté le TGV et ses affaires personnelles lundi soir, n’ont trouvé de suspect, précise le magistrat de permanence.