Dans la Harth, "nos arbres meurent de soif"

  • il y a 5 ans
La forêt de la Harth est assoiffée : séparée de la nappe phréatique par une couche géologique de graviers, elle dépend directement des eaux pluviales, en déficit chronique depuis 2015. Après les charmes, puis les conifères, dont certaines parcelles ont été purement et simplement décimées, les chênes commencent à leur tour à être touchés, suscitant des problèmes d’exploitation, mais aussi de sécurité.

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