.@MicheronH, après la décapitation d'un professeur d'histoire, sur la lutte contre le jihadisme : "Cet événement d'hier montre que malgré tout on a encore du retard."

.@MicheronH, après la décapitation d'un professeur d'histoire : "Il y a rarement de loup solitaire, il y a toujours des environnements idéologiques"

.@MarleneSchiappa, après la décapitation d'un professeur d'histoire : "Il y a une pression aujourd'hui quand des enseignants veulent très simplement parler de Charlie Hebdo, de caricatures"

.@MarleneSchiappa après la décapitation d'un enseignant : "Je ne dis pas qu'on ne pouvait pas l'anticiper. Je dis juste que penser qu'un professeur d'histoire va être décapité sur la voie publique, cela dépasse l'entendement."

.@MarleneSchiappa, après la décapitation d'un professeur d'histoire : "Je crois qu'il est inacceptable pour tout le monde qu'on puisse avoir cet acte de violence terrible de décapiter un enseignant parce qu'il a fait son travail"

"Aujourd’hui, si une personne se connecte et regarde plusieurs fois des vidéos de décapitation sur Internet, nous ne le savons pas et nous ne pouvons pas le savoir. Avec la nouvelle loi, nous connaîtrons ces connexions(Gérald Darmanin)

Professeur Moncef Slaoui : "Je pense que vers la fin du mois de mars, on aura vacciné les 100 millions de personnes les plus à risque [aux Etats-unis]. En Europe, on aura à mon avis un retard de trois ou quatre mois"

Hier j'ai regardé France 2 - Le billet d'Audrey Vernon

Hier la reine d'Angleterre fêtait ses 70 ans de règne ! - Le billet de Daniel Morin

Nathalie Loiseau, eurodéputée : "J'ai beaucoup pleuré hier, en disant au revoir aux députés européens britanniques, je n'ai pas pu retenir mon émotion. Ce ne sera pas comme avant."

Nathalie Loiseau, députée Renew Europe : "On appelle 'frugaux' les pays qui veulent mener la bataille d'aujourd'hui avec les armes d'hier, c'est toujours le meilleur moyen de perdre"

François Bayrou, Haut-commissaire au Plan : "Tous ceux qui étaient là à la réunion hier soir (…) ont chacun exprimé leur sentiment. Ce sentiment, c’est un, faire absolument quelque chose et deux, pas de reconfinement généralisé" #le79Inter

Laurience Tubiana : "En pratique, Trump a été très clair hier soir, il a dit "J'arrête tout."

Delphine Horvilleur : "J'aurai préféré qu'on vive hier un moment d'union nationale"

François Sureau rend hommage à Bertrand Tavernier : "J'ai eu ce sentiment de tristesse hier : quand Tavernier était mort, je me suis rendu compte que la liste de ses films était close. Des phrases de ses films me sont revenus en foule."

Agnès Buzyn : "Nous n'avons été en mesure de publier une liste de produits, avec leur définition et leur formule, qu'hier, et ça a été rendu public dès que ça a été connu"

Avec son nouvel album, "1958", Blick Bassy questionne les révoltes d’hier et celles d'aujourd'hui - Pop & Co

Nathalie Loiseau : "Je n'ai pas de confirmation sur l'utilisation de chlore, hier, en Syrie"

Sport et orgasme au programme hier à Radio France - Le billet de Daniel Morin

Succès d'audience pour "Les Sous-doués" hier soir sur LCP - Le Billet de Matthieu Noël

Martin Fourcade : "Les Jeux Olympiques de demain ne peuvent pas être les mêmes que ceux d'hier"

Mobilisation propalestiniennes dans les universités, avec Hugo Micheron, Anne Muxel et Roger Cohen

Hugo Micheron : "Si on prend de l'idéologie pour de la folie, on fait des erreurs d'évaluation"

ISRAËL - Hugo Micheron est l'invité d'Amandine Begot

"On ne peut plus minorer" le jihadisme, selon le spécialiste Hugo Micheron

Pour le chercheur Hugo Micheron, "le jihadisme n'est pas derrière nous"

Attentat à Bruxelles: "La région de Bruxelles a été extrêmement touchée par les départs" pour la Syrie et l'Irak, explique Hugo Micheron, spécialiste du jihadisme

La protection de la personne et la protection du personnage - L'édito culture

Nicolas de Tavernost retraité ? Vous rêviez ! - L'édito médias

Sonia Sieff, la photographe qui fait parler les corps

Nathalie Schuck x Thomas Legrand : "#Européennes 2024 : les intentions de vote"

Émeutes en Nouvelle-Calédonie : "À situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles", estime Bruno Retailleau

"On ne choisit pas !" - En toute subjectivité, Anne Rosencher