Emmanuel Macron reconnaît l'assassinat d'Ali Boumendjel
- il y a 3 ans
Le président de la République a lui-même annoncé aux petits-enfants d'Ali Boumendjel l'assassinat de l'avocat par l'armée française pendant la Guerre d'Algérie.
«Un geste de reconnaissance pour l’Histoire, pour l’Algérie et pour la France». Tels sont les mots du Président de la République pour reconnaître l’assassinat d’Ali Boumendjel le 23 mars 1957, en pleine Guerre d’Algérie.
Tué par l’armée française, la mort de l’avocat et militant algérien avait été maquillée comme un suicide.
«Regarder l’Histoire en face, reconnaître la vérité́ des faits, ne permettra pas de refermer des plaies toujours ouvertes, mais aidera à frayer le chemin de l’avenir. »
«Aucun crime, aucune atrocité́ commise par quiconque pendant la Guerre d’Algérie ne peut être excusé ni occulté.»
Emmanuel Macron s’appuie sur le rapport de mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie réalisé par l'historien Benjamin Stora. Mais cette reconnaissance divise.
Hier, Emmanuel Macron a reçu quatre des petits-enfants d’Ali Boumendjel pour rétablir la vérité. Au nom de la France, selon le communiqué de l’Elysée.
«Un geste de reconnaissance pour l’Histoire, pour l’Algérie et pour la France». Tels sont les mots du Président de la République pour reconnaître l’assassinat d’Ali Boumendjel le 23 mars 1957, en pleine Guerre d’Algérie.
Tué par l’armée française, la mort de l’avocat et militant algérien avait été maquillée comme un suicide.
«Regarder l’Histoire en face, reconnaître la vérité́ des faits, ne permettra pas de refermer des plaies toujours ouvertes, mais aidera à frayer le chemin de l’avenir. »
«Aucun crime, aucune atrocité́ commise par quiconque pendant la Guerre d’Algérie ne peut être excusé ni occulté.»
Emmanuel Macron s’appuie sur le rapport de mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie réalisé par l'historien Benjamin Stora. Mais cette reconnaissance divise.
Hier, Emmanuel Macron a reçu quatre des petits-enfants d’Ali Boumendjel pour rétablir la vérité. Au nom de la France, selon le communiqué de l’Elysée.