« Canal+ va augmenter de 50% notre offre de séries, genre que les abonnés réclament le plus »
- il y a 2 ans
La chaîne payante propose American Rust, une nouvelle série avec le comédien Jeff Daniels et tiré d’un roman de l’auteur à succès Philipp Meyer. On y suit l’enquête d’un shérif sur un meurtre au fin fond de la Pennsylvanie, dans une Amérique désindustrialisée, déclassée. Pour le Dga du groupe audiovisuel Jean-Marc Juramie, « cette série est tout ce qu’on aime : d’abord une qualité de production extraordinaire, c'est un casting 5 étoiles, et c’est un polar comme nos abonnés les aiment. »
Pour Canal+, il existe « trois sortes de séries : les créations originales, créées pour et par nous ; les séries produites par Studio Canal, fabriquées souvent avec un diffuseur tiers, comme la BBC avec l’année prochaine la série Ridley Road ; et les séries choisies dans le monde entier. Chaque année, on regarde par exemple les 500 séries américaines qui sont produites par an et on sélectionne pour nos abonnés. »
Des abonnés de Canal+ qui vont pouvoir découvrir à la mi-décembre la suite de Dexter, « une des stars des séries us de l’histoire de Canal+ » qui revient après 8 saisons et surtout 8 années d’interruption. « On s’est beaucoup battu pour l’avoir », précise Jean-Marc Juramie.
L’an prochain, « on va investir et augmenter de 50% notre offre de séries, c’est la thématique que les abonnés réclament le plus. » Et celle qui permet de recruter le plus de nouveaux abonnés.
Parmi les nouveautés, de nombreuses fictions britanniques sont programmées : Time, Starstruck, Landscapers… « L’Angleterre est un gros vivier, notamment dans la production puisque nous avons
là-bas des studios à nous, et nous y achetons également des séries, comme It’s going to hurt, série médicale qui va renouveler le genre. »
Face aux opérateurs comme Netflix, qui a investi plus de 17 milliards de dollars l’an dernier et 19 cette année, Canal+ a « une double stratégie : on achète nos propres séries, une soixantaine cette année, ce qui fait en fait une par semaine. On joue sur une quantité suffisante, et qualitativement, on sélectionne beaucoup plus que les plateformes. Et on est également un agrégateur. Nos abonnés ont donc accès aux séries de Starzplay, de Disney+, de Netflix…. Comme cela ils ont accès à tout.
Pour Canal+, il existe « trois sortes de séries : les créations originales, créées pour et par nous ; les séries produites par Studio Canal, fabriquées souvent avec un diffuseur tiers, comme la BBC avec l’année prochaine la série Ridley Road ; et les séries choisies dans le monde entier. Chaque année, on regarde par exemple les 500 séries américaines qui sont produites par an et on sélectionne pour nos abonnés. »
Des abonnés de Canal+ qui vont pouvoir découvrir à la mi-décembre la suite de Dexter, « une des stars des séries us de l’histoire de Canal+ » qui revient après 8 saisons et surtout 8 années d’interruption. « On s’est beaucoup battu pour l’avoir », précise Jean-Marc Juramie.
L’an prochain, « on va investir et augmenter de 50% notre offre de séries, c’est la thématique que les abonnés réclament le plus. » Et celle qui permet de recruter le plus de nouveaux abonnés.
Parmi les nouveautés, de nombreuses fictions britanniques sont programmées : Time, Starstruck, Landscapers… « L’Angleterre est un gros vivier, notamment dans la production puisque nous avons
là-bas des studios à nous, et nous y achetons également des séries, comme It’s going to hurt, série médicale qui va renouveler le genre. »
Face aux opérateurs comme Netflix, qui a investi plus de 17 milliards de dollars l’an dernier et 19 cette année, Canal+ a « une double stratégie : on achète nos propres séries, une soixantaine cette année, ce qui fait en fait une par semaine. On joue sur une quantité suffisante, et qualitativement, on sélectionne beaucoup plus que les plateformes. Et on est également un agrégateur. Nos abonnés ont donc accès aux séries de Starzplay, de Disney+, de Netflix…. Comme cela ils ont accès à tout.