Eric Zemore, l'aventure la plus étonnante de cette course présidentielle

  • il y a 2 ans
Le candidat Eric Zemmour, plombé par ses prises de position sur la guerre d'Ukraine, a perdu des points mais ne s'est pas écarté de sa route. enquête.
#EricZemmour #plus #stupéfianteaventure
Le candidat Eric Zemmour, plombé par ses prises de position sur la guerre d'Ukraine, a perdu des points mais ne s'est pas écarté de sa route. enquête.

Pour Paris Match, Emilie Lanez enquête pour en savoir plus sur le phénomène Zemmour, l'aventure la plus surprenante de cette campagne présidentielle : l'émergence d'un journaliste de 60 ans connu pour sa verve ténébreuse qui se propulse dans la voie de l'élection. il se battait pour la deuxième place. Vidant les électeurs des rassemblements à l'échelle nationale, cannibalisant les électeurs républicains, et imposant les thèmes immigrés de son obsession des thèmes immigrés des deux droites dont il veut effacer les frontières, Eric Zemur en a créé un en seulement trois saisons. et ravager les chaînes identitaires radicales. 120 000 adhérents, un budget de 12 millions d'euros dont 3 millions proviennent des dons de chaque inscrit, de nombreux militants et 50 salariés. A côté de la candidate nationaliste, il y a une femme omniprésente : Sarah Knafu.

'Moi, c'est moi avec Sarah Knafu', dit Eric Zemore en riant

Il lui dicte son discours, elle le tape sur l'ordinateur, ils le relisent, elle le corrige, il prend le relais, elle approuve, et écrit à notre journaliste. "Entre elle et lui, c'est allé bien au-delà de l'affection, confiait Philippe de Villiers, double candidat ultraconservateur à la présidentielle qui fut Éric Zemour. L'ami de Zemmour depuis 36 ans. Il y a un carburant intellectuel incroyable entre eux, elle mène la campagne, elle est dans "Moi, c'est moi avec Sarah Knafu", Eric Zemmour dans "La force du duo est époustouflante, ce qui se reflète dans notre chronique où Guillaume Peltier, autrefois numéro deux de LR, est devenu vice-président du Nouveau Fête. C'est une grande professionnelle, une tour de contrôle. "La taille de la table de conférence, la disposition des thèmes, les personnages du spectacle, les changements dans les lieux à visiter... Un magistrat de la Cour des comptes, sans aucune expérience des élections, vis, serrures, pulsions, commandes, décrit à nouveau Emily Lanz.

Jusqu'au 24 février, espérons-le, ce ne sera pas possible. Hormis la guerre d'Ukraine, à laquelle il ne croit pas, la guerre est essentielle à la campagne. "C'est désastreux pour nous, la guerre a remplacé le grand remplacement, notre courant profond", a déploré Philippe de Villiers.

Retrouvez l'intégralité de notre enquête dans le numéro 3802 de Paris Match.

Recommandée