Laveuse libreLe temps est pour la réflexion à Vancouver

  • l’année dernière
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Les Canucks de Vancouver auront de bonnes réflexions à faire. Un plan concret pour l'avenir sera nécessaire. Leur capitaine, Bo Horvat, vient de refuser une prolongation de contrat de huit ans pour 64 millions, rapporte The Athletic. « Je me concentre sur cette saison et je joue pour les Canucks de Vancouver, aidant l'équipe de toutes les manières possibles. Je n'aurai pas d'autres commentaires cette année sur mon avenir", a-t-il déclaré mardi dans un communiqué. Horvat, 27 ans, est le deuxième meilleur buteur de l'équipe, avec 20 buts et 29 points en 28 matchs. C'est avant tout son cœur et son âme. Avec sa pleine pige à venir en juillet, Horvat sera probablement échangé avant la date limite des échanges, d'autant plus qu'il est peu probable que Vancouver soit en lice pour une place en séries éliminatoires. Horvat pourrait apporter une fortune aux Canucks, ce qui signifie au moins un choix de premier tour et un meilleur espoir / jeune joueur. Cette fois, il faudra inscrire cette opération dans le cadre d'un plan structuré. La tendance n'a pas toujours été claire ces dernières années à Vancouver. Non seulement ils ont fait les séries éliminatoires pour la première fois en cinq ans ce printemps-là, mais ils ont éliminé le Wild du Minnesota au premier tour, avant de perdre en six matchs contre les Flames de Calgary. Cette équipe avait besoin de grandir. Mais Vancouver n'a pas participé aux séries éliminatoires depuis et risque de les manquer pour une troisième année consécutive ce printemps. Le refus d'Horvat est agaçant pour la direction. En proposant, en septembre, une prolongation de contrat de sept ans pour 56 millions à son meilleur buteur de l'an dernier, J.T. Miller, 29 ans, le successeur de Jim Benning, Patrik Allvin, a envoyé un message clair : nous n'allions pas reconstruire ou réinitialiser, malgré les échecs de l'équipe. PHOTO GODOFREDO A. VÁSQUEZ, PRESSE ASSOCIÉE J. T. Miller Miller deviendrait un agent libre sans restriction en juillet 2023, comme Horvat. Le départ de celui-ci obligera les Canucks à prendre un recul important et à se rajeunir, mais le départ du capitaine en retour de choix et d'espoirs viendra en contradiction avec le gros contrat offert à Miller à l'aube des années trente. L'autre option serait de continuer avec la recette de ces dernières années, c'est-à-dire d'essayer de tirer le meilleur parti d'Horvat, de rentabiliser son départ, et néanmoins d'essayer de gagner à court terme comme nous le faisons depuis plusieurs saisons, en bref, essayer de cicatriser la plaie avec un pansement. C'est probablement aussi la volonté du propriétaire Francesco Aquilini, qui ne déteste pas fourrer son nez partout. A l'époque, en 2018, le président de l'équipe, l'ancienne gloire des Canucks Trevor Linden, avait claqué la porte après avoir osé évoquer une reconstruction. Une reconstruction ne garantit évidemment rien

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