"On n'est jamais préparés à affronter ça" : un soutien psychologique et un espace de méditation se p

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Drame familial à Vaudignies : le maire Chièvres très ému, "organiser une marche blanche est indispensable" Après le décès Sara et ses deux enfants, Marty et Emmy, la Commune Chièvres a décidé d'organiser une marche blanche ce dimanche. "C'est minimum qu'on puisse faire", assure le maire, lui-même très marqué par drame. Marty et Emma. -D.R. Par Sarah Courcelle Journaliste Nord Eclair Une minute silence et le lâcher de ballons accompagneront cet hommage à Sara, Emmy et Marty, les trois victimes Vaudignies. La Ville de Chièvres a confirmé lundi qu'un moment de recueillement serait organisé dans le quartier où ils sont décédés subitement. « En hommage aux trois victimes décédées de façon dramatique rue de Quièvremont ce vendredi 30 décembre, une marche blanche sera organisée ce dimanche 8 janvier à 14 heures. Le départ est fixé au carrefour formé par Robert Flament, rue de Ladeuze et de Quièvremont », a précisé Ville. Le maire, Olivier Hartiel. - B.L. Pour le maire de Chièvres, Olivier Hartiel, l'organisation d'un tel hommage est nécessité, à plus d'un titre : « A partir du moment où un tel drame touche une famille de Chièvres et plus particulièrement mère et ses deux enfants, on ne peut ignorer ces faits. ", précise-t-il. "C'est une manière de montrer son soutien à la famille dont nous avons demandé l'accord préalable. Il est naturel et logique, la part d'une ville, la part d'un maire, proposer une marche symbolique et un minute silence, en hommage aux victimes. Je ressens aussi un réel besoin la population, de se rassembler, se retrouver...". de vidéos "Des traces morales encore présentes" Très vite après les terribles événements survenus vendredi, une cellule psychologique a été mise en place. "Beaucoup de gens avaient besoin de cette aide et j'avoue que j'en ressens moi-même besoin", raconte le maire Chiévrois qui s'y est rendu soir même. "Quand j'ai reçu l'appel des secours, quand on m'a annoncé un féminicide et un probable double infanticide, je dois avouer que j'étais terrifiée... Je n'y croyais pas : ce n'était pas possible, c'était était peu probable... J'ai senti mes jambes coupées. C'est terrible et surtout, on ne s'attend pas à vivre cela, surtout dans une petite ville rurale. Je suis revenu sur les lieux le lendemain et, s'il n'y avait plus de traces visibles de le drame, on sentait que les traces morales étaient encore présentes ». « Le féminicide n'est plus possible ! » Sur place, le maire a tenté de soutenir au mieux les proches. "Aux questions qu'on m'a posées, notamment à la sœur de la victime, je n'ai pas su quoi répondre. J'avoue que ce n'était pas facile. Nous sommes au 21ème siècle ! Cela ne devrait plus arriver... C'est compliqué à gérer. J'ai toujours en tête l'image des victimes. Malgré tout, Olivier Hartiel a décidé d'agir rapidement selon ses moyens. "Ce qui

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