OL-RC Strasbourg: Declasting, joueurs et dirigeants insultés à tour de rôle… Lyon est-il confronté à
- l’année dernière
#OLRCStrasbourg #Declasting #joueurs
https://gotopnews.com/post/1386722
Au Parc OL, On se prépare à presque tout en suivant chaque semaine les aventures de l'Olympique Lyonnais en Ligue 1. Mais il faut bien l'avouer, on n'a pas pensé à aller sur Google Traduction, en pleine nuit, pour s'assurer que le mot incompétent est plus compréhensible pour John Textor que le mythique je récupère la balle de Nabil Fekir. Et oui, car les banderoles ont volé samedi soir à l'occasion d'une huitième défaite en Ligue 1 cette saison contre le RC Strasbourg , dont celle-ci, bien ciselée par le virage sud : « John, la maison brûle, licencier les incompétents ». A 20h58, juste avant coup d'envoi, la punchline posait les bases d'une soirée cauchemardesque pour les joueurs de Laurent Blanc, aux côtés de l'énorme bouc brandi par le virage nord pour accompagner une banderole dans même esprit : « Ne laissons pas que notre club parte en fumée. Car forcément, le déclassement officiel l'OL, à la fois privé tout titre depuis 2012, mais aussi qualification pour la Ligue des champions depuis 2019, a quoi alerter supporters lyonnais, remplis nostalgie quand ils évoquent les sept sacres consécutifs en Ligue 1 dans années 2000. "On est si près de la relégation" Et comment mieux marquer ce constat, pour la première au Parc OL de l'homme d'affaires américain John Textor dans le costume d'actionnaire majoritaire officiel du club, qu'en s'inclinant face au 19e du championnat, qui jusque-là un seul succès en 18 journées, et pas de victoire à Lyon en Ligue 1 depuis 1979 ? Histoire de faire ça avec panache, l'OL a détruit une prestation finalement cohérente en concédant notamment un second but burlesque, avec un corner en sa faveur à l'entame, et au final une série de boulettes dont il a le secret . « On s'est puni de nos maladresses en première mi-temps, confirme Laurent Blanc. « Il y a un sentiment de honte, forcément, quand on voit l'écart très décevant entre notre classement, ce qu'on est en train de faire, et nos ambitions, glisse même Alexandre Lacazette, dont le penalty plein d'espoir n'a pas suffi samedi . C'est dangereux de voir qu'on est si près de la relégation. « Bon, il y a quand même une marge de 10 points avec la zone rouge, mais en même temps, l'écart est beaucoup plus grand avec le podium , alors que le Top 5 pourrait être à 12 points selon les résultats de dimanche. Le capitaine lyonnais, qui avouait la veille "ne pas regarder le classement ni les écarts avec les places européennes", tente de se ressaisir : "Quand on joue à l'OL, on ne peut penser qu'au haut de tableau. Il n'y a que une victoire qui va nous aider à sortir la tête de l'eau. Même samedi prochain en Coupe de France contre Chambéry , et en prime à domicile, est-ce que ça compte ? Il faudra sans doute une sacrée série pour permettre cela groupe, qui reste sur un but marqué en 270 minutes de jeu , pour se reprendre la tête. Et encore
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Au Parc OL, On se prépare à presque tout en suivant chaque semaine les aventures de l'Olympique Lyonnais en Ligue 1. Mais il faut bien l'avouer, on n'a pas pensé à aller sur Google Traduction, en pleine nuit, pour s'assurer que le mot incompétent est plus compréhensible pour John Textor que le mythique je récupère la balle de Nabil Fekir. Et oui, car les banderoles ont volé samedi soir à l'occasion d'une huitième défaite en Ligue 1 cette saison contre le RC Strasbourg , dont celle-ci, bien ciselée par le virage sud : « John, la maison brûle, licencier les incompétents ». A 20h58, juste avant coup d'envoi, la punchline posait les bases d'une soirée cauchemardesque pour les joueurs de Laurent Blanc, aux côtés de l'énorme bouc brandi par le virage nord pour accompagner une banderole dans même esprit : « Ne laissons pas que notre club parte en fumée. Car forcément, le déclassement officiel l'OL, à la fois privé tout titre depuis 2012, mais aussi qualification pour la Ligue des champions depuis 2019, a quoi alerter supporters lyonnais, remplis nostalgie quand ils évoquent les sept sacres consécutifs en Ligue 1 dans années 2000. "On est si près de la relégation" Et comment mieux marquer ce constat, pour la première au Parc OL de l'homme d'affaires américain John Textor dans le costume d'actionnaire majoritaire officiel du club, qu'en s'inclinant face au 19e du championnat, qui jusque-là un seul succès en 18 journées, et pas de victoire à Lyon en Ligue 1 depuis 1979 ? Histoire de faire ça avec panache, l'OL a détruit une prestation finalement cohérente en concédant notamment un second but burlesque, avec un corner en sa faveur à l'entame, et au final une série de boulettes dont il a le secret . « On s'est puni de nos maladresses en première mi-temps, confirme Laurent Blanc. « Il y a un sentiment de honte, forcément, quand on voit l'écart très décevant entre notre classement, ce qu'on est en train de faire, et nos ambitions, glisse même Alexandre Lacazette, dont le penalty plein d'espoir n'a pas suffi samedi . C'est dangereux de voir qu'on est si près de la relégation. « Bon, il y a quand même une marge de 10 points avec la zone rouge, mais en même temps, l'écart est beaucoup plus grand avec le podium , alors que le Top 5 pourrait être à 12 points selon les résultats de dimanche. Le capitaine lyonnais, qui avouait la veille "ne pas regarder le classement ni les écarts avec les places européennes", tente de se ressaisir : "Quand on joue à l'OL, on ne peut penser qu'au haut de tableau. Il n'y a que une victoire qui va nous aider à sortir la tête de l'eau. Même samedi prochain en Coupe de France contre Chambéry , et en prime à domicile, est-ce que ça compte ? Il faudra sans doute une sacrée série pour permettre cela groupe, qui reste sur un but marqué en 270 minutes de jeu , pour se reprendre la tête. Et encore