“Un hurlement au petit matin” : Élisabeth Borne, le suicide de son père raconté

  • il y a 8 mois
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“Un hurlement au petit matin” : Élisabeth Borne, le suicide de son père raconté
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Si et si le grand drame de sa vie à 62 ans Elisabeth borne Pen toujours à évoquer la mort tragique de son père Joseph un résistant rescapé des camps de concentration nazis selon ses propres mots [Musique] dans la secrète paru le 4 mai aux éditions de l'archipel Bérengère Bonte décrypte la mystérieuse première ministre et plonge pour cela dans son enfance ténébreuse [Musique] elle n'a que 11 ans lorsque son paternel décide de mettre fin à ses jours en se défenestrant de la maison familiale normande de livaro en 1972 dans son livre la journaliste de France Info revient sur le déroulé de cette terrible journée cette veille de 15 août commence par un hurlement au petit matin celui de l’employé de maison qui arrive comme chaque jour depuis plus de 50 ans rapporte telle elle remarque un morceau de pyjama dépassant d'un buisson le corps de Joseph est là est allé au pied de la maison la fenêtre du deuxième étage ouverte sa tête a heurté le balcon en premier précise à l'époque sa sœur est née Anne-Marie Sainte-Thérèse [Musique] a-t-il chuté en raison de la haute dose de sédatif ingurgitée ce qui est sûr si esthétique quelques jours plus tôt à Paris Joseph borne a tenté de ne finir par un toxication médicamenteuse il est hospitalisé et son épouse Marie lui fait promettre de ne plus jamais recommencer alors qu’ils sont en route pour retrouver leur fille supérieure à supérieur à Elisabeth borne qui sont les hommes qui ont compté dans sa vie ce moment où Elisabeth borne a disjoncté la dépression du père d'Elizabeth borne s'accentue à la fin des années 1960 le psychanalyste de Joseph est consultation et lui propose un confrère dont il ne veut pas ses angoisses sont-elles CODIR de sa femme il peut rester figé devant une boîte à lettres à se demander dans quelle fente glisser une enveloppe écrivez [Musique] après son suicide la future occupante de Matignon dit ce jonque à en croire le témoignage de sa sœur [Musique] alors que cette dernière et leur mère retourne à Paris elle demeure seule avec sa tante et sa grand-mère dans la maison qui a vu son père mourir aujourd'hui Anne-Marie borne confie se sentir encore fautif de la voir abandonné à livaro [Musique] l’environnement était déjà tout sauf assurant le paroxysme sieste le suicide de mon père je me suis dit je vis dans un monde dont je ne comprends pas les codes avec en plus des choses dramatiques racontera l'ex-ministre du travail à l'écrivaine [Musique] crédits photos Eliott blonde et Chr

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