Mali : les forces armées reprennent Kidal des mains des rebelles
- il y a 6 mois
Mali :, les forces armées reprennent
Kidal des mains des rebelles.
Alors que le centre du Mali subit encore la pression de différents groupes djihadistes.
au nord du pays, la ville symbolique de Kidal a été reprise par l'armée régulière malienne, appuyée par le groupe Wagner.
Nous sommes tous heureux aujourd'hui au Mali. Et nous félicitons les autorités de la transition et les forces armées. Nous leur demandons de continuer, Moussa Mara, ex premier ministre malien.
Chacun d'entre nous, nous devons faire notre part. C'est tous ensemble que nous allons stabiliser notre pays, que nous allons mettre le pays dans la voie de la prospérité, de la solidarité et de la sortie durable de la crise, Moussa Mara, ex premier ministre malien.
Malgré ce succès apparent, le parti d'opposition Sadi et son leader, Oumar Mariko, jugent un cessez-le-feu "absolument nécessaire".
C'est une guerre qui nous éloigne des objectifs politiques stratégiques d'unité nationale, de stabilité de notre pays
et de démocratie, Oumar Mariko, dirigeant du parti d'opposition Sadi.
Le carnage qui va s'ensuivre, qui est en train de se faire, que ce soit sur les forces militaires ou surtout sur les civils, ne fait que nous éloigner d'une solution définitive face à la situation de guerre et d'insécurité que connaît aujourd'hui le Mali, Oumar Mariko, dirigeant du parti d'opposition Sadi.
Plusieurs experts estiment que cette attaque brise l'accord de paix passé en 2015 dans le pays.
La ville de Kidal va ainsi devenir, selon eux un bastion à défendre face aux rebelles affaiblissant l'influence de l'armée régulière dans le reste du pays
Kidal des mains des rebelles.
Alors que le centre du Mali subit encore la pression de différents groupes djihadistes.
au nord du pays, la ville symbolique de Kidal a été reprise par l'armée régulière malienne, appuyée par le groupe Wagner.
Nous sommes tous heureux aujourd'hui au Mali. Et nous félicitons les autorités de la transition et les forces armées. Nous leur demandons de continuer, Moussa Mara, ex premier ministre malien.
Chacun d'entre nous, nous devons faire notre part. C'est tous ensemble que nous allons stabiliser notre pays, que nous allons mettre le pays dans la voie de la prospérité, de la solidarité et de la sortie durable de la crise, Moussa Mara, ex premier ministre malien.
Malgré ce succès apparent, le parti d'opposition Sadi et son leader, Oumar Mariko, jugent un cessez-le-feu "absolument nécessaire".
C'est une guerre qui nous éloigne des objectifs politiques stratégiques d'unité nationale, de stabilité de notre pays
et de démocratie, Oumar Mariko, dirigeant du parti d'opposition Sadi.
Le carnage qui va s'ensuivre, qui est en train de se faire, que ce soit sur les forces militaires ou surtout sur les civils, ne fait que nous éloigner d'une solution définitive face à la situation de guerre et d'insécurité que connaît aujourd'hui le Mali, Oumar Mariko, dirigeant du parti d'opposition Sadi.
Plusieurs experts estiment que cette attaque brise l'accord de paix passé en 2015 dans le pays.
La ville de Kidal va ainsi devenir, selon eux un bastion à défendre face aux rebelles affaiblissant l'influence de l'armée régulière dans le reste du pays