La compagnie « Lili&ken » aux Renocntres de Danse Amateur de Gignac 2012
- il y a 12 ans
La compagnie « Lili&ken » est composée d’une dizaine de danseuses, ce groupe s’est constitué en septembre 2004, autour d’un travail de recherche chorégraphique et de création en danse contemporaine avec le désir de danser ensemble, toujours plus et avec plus d’exigence. Depuis sept ans, le groupe fonctionne de façon autonome et autogérée.
Dans chacune de nos créations, la matière dansée s’élabore tout au long de l’année à partir de recherches sur des composantes du mouvement et les thèmes que nous choisissons d’explorer. L’utilisation d’éléments scénographiques, de vidéos, d’installations plastiques, de textes, font partie du dispositif à l’œuvre dans notre travail où structures d’improvisations et éléments d’écriture se succèdent.
Notre recherche s’est orientée vers les espaces de l’altérité : le lien et l’abandon, ce qui a donné lieu à la création de « Nous ne sommes pas des anges shizophrènes » ; & ce « et » trait d’union, qui relie, coordonne, juxtapose, mais aussi sépare pour « Comme chacun de nous était plusieurs ça faisait déjà beaucoup de monde ; l’ interstice », pour « A perte de vue dans le dos des yeux » , et « contre, tout contre ». pour« Chacun s’en va de nuit vers le bout de son corps ». Ces créations ont été présentées au festival de danse amateur de Clermont l’Hérault.
En 2009, nous avons bénéficié du dispositif « Danse en amateur et répertoire » pour remonter un extrait de « Les lieux de là »de Mathilde Monnier » sous la direction de Rita Quaglia et nous avons participé aux rencontres nationales au Manège de Reims en juin 2010.
Ce fut une expérience forte à laquelle ont succédé deux années d’un cheminement qui nous a permis de nous approprier et de mettre à distance ce qui nous a traversées, ainsi s’est construite la pièce chorégraphique présentée dans cette vidéo et intitulée « Des liens et des lieux »
Dans chacune de nos créations, la matière dansée s’élabore tout au long de l’année à partir de recherches sur des composantes du mouvement et les thèmes que nous choisissons d’explorer. L’utilisation d’éléments scénographiques, de vidéos, d’installations plastiques, de textes, font partie du dispositif à l’œuvre dans notre travail où structures d’improvisations et éléments d’écriture se succèdent.
Notre recherche s’est orientée vers les espaces de l’altérité : le lien et l’abandon, ce qui a donné lieu à la création de « Nous ne sommes pas des anges shizophrènes » ; & ce « et » trait d’union, qui relie, coordonne, juxtapose, mais aussi sépare pour « Comme chacun de nous était plusieurs ça faisait déjà beaucoup de monde ; l’ interstice », pour « A perte de vue dans le dos des yeux » , et « contre, tout contre ». pour« Chacun s’en va de nuit vers le bout de son corps ». Ces créations ont été présentées au festival de danse amateur de Clermont l’Hérault.
En 2009, nous avons bénéficié du dispositif « Danse en amateur et répertoire » pour remonter un extrait de « Les lieux de là »de Mathilde Monnier » sous la direction de Rita Quaglia et nous avons participé aux rencontres nationales au Manège de Reims en juin 2010.
Ce fut une expérience forte à laquelle ont succédé deux années d’un cheminement qui nous a permis de nous approprier et de mettre à distance ce qui nous a traversées, ainsi s’est construite la pièce chorégraphique présentée dans cette vidéo et intitulée « Des liens et des lieux »